"Je suis entré en formation à l’École des Métiers de l'Accompagnement dans le cadre d’une transition-reconversion professionnelle. C’est pour moi, a posteriori, une phase de découverte(s) et d'étude très intéressante et stimulante : sur un métier, des domaines de savoirs – scientifiques, des références, des pratiques. Ma mobilisation, par/pour cette formation, en termes de temps de travail personnel (lecture de documents, stage, travaux écrits, supervision), était d’environ 45h par mois. Cette formation est un élément important dans ma professionnalisation."
"Au fond, ce travail m’a permis de mettre en perspective ce que j’avais pu mettre de l’accompagnement dans mon métier de formateur et en quoi mon métier de formateur parasite encore ma posture d’accompagnateur, parasite dans la durée (subjective) de mes séances d’accompagnement et parasite dans le temps (objectif) de la formation à l’accompagnement.
"Il s’agit d’un langage nouveau comme le solfège qu’il faut apprendre pour bien maitriser son instrument de musique, en l’occurrence ici l’accompagnement. « Faire des gammes » est une métaphore de l’utilisation des références pour que l’accompagnateur puisse parfaitement cheminer avec l’accompagné. ... Ce qui est très intéressant dans cette formation, c’est ce processus inachevé de notre apprentissage qui nous porte à découvrir de nouveaux auteurs, de nouvelles références à la façon d’un jeu de construction inachevable."
"Ces compétences détaillées dans le référentiel ont été l'objet de nos études, de nos discussions, de nos réflexions, de notre pratique.
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